3/4 des dirigeants préfèrent LinkedIn

Il y a 5 ans seulement, être présent sur LinkedIn était suspect. On se méfiait de ces cadres ou dirigeants qui mettaient leur profils sur un site à l’époque encore très orienté carrière. Puis, on a commencé à admettre que finalement avoir des collaborateurs qui réseautaient, qui utilisaient LinkedIn comme outil de communication ou de prospection n’était finalement pas inintéressant. Mais, on restait au niveau des équipes et peu d’équipes de direction s’intéressaient à l’outil. Plus récemment, les boards de plusieurs entreprises (y compris celles du CAC40) se sont intéressés à cet outil et à la présence que pouvaient y avoir leurs collaborateurs. En revanche, même si de nombreux dirigeants français y sont présents (Gérard Mestrallet, Jean-Paul Agon, François-Henri Pinault…) de manière assez basique (photo trop petite, 0 contact, URL non réécrite, à la 3° personne…), très peu ont décidé de s’y intéresser réellement et d’en faire un outil de communication, à l’exemple de Carlos Ghosn (qui fait partie du programme LinkedIn influencer avec plus de 500 000 followers). En revanche, dans le top du Fortune 500, les choses sont totalement différentes.

Social Selling : 16 statistiques pour vous convaincre

Vous êtes chef d’entreprise, Directeur de BU, Directeur Commercial, commercial, manager commercial… vous vous posez probablement des questions sur le Social Selling. Vous avez des doutes. Vous vous demandez si c’est pertinent. Ou alors vous ne vous pas encore posé la question. Pour vous convaincre ou pour vous accompagner dans votre réflexion, Screwpile Communications vient de publier un document où ils compilent 15 statistiques qui devraient vous éclairer.
Savez-vous par exemple que 98% des commerciaux qui ont plus de 5 000 contacts dépassent leurs objectifs (Sales Benchmark Index). Les projets Social Selling d’IBM ont augmenté des ventes de 400% (IBM, lors d’un test sur un programme pilote).

Sur les reseaux sociaux aussi c’est 2 fois plus de travail pour les femmes

Plafond de verre, syndrome d’imposture, manque de reconnaissance, manque de légitimité, moins de visibilité, besoin d’en faire plus pour être reconnue, déployer plus d’énergie pour s’imposer… quelques expressions que l’on retrouve dans la presse, sur les blogs ou les forums pour expliquer que la vie professionnelle et notamment l’évolution de carrière demande plus de travail et d’énergie au femme. On entend souvent que pour les femmes c’est 2 fois plus d’efforts pour arriver au même résultat. Sur les réseaux sociaux pros, c’est pareil : pour les femmes aussi c’est 2 fois plus de travail.